Des balbutiements qui se perdent au lointain.
Lamentations haletantes d’un peuple asphyxié par le chagrin.
Lente agonie des âmes se raccrochant à la première lueur.
Que de cris de douleurs espérant le bonheur.
Oyez ! Oyez ! Ayez pitié de nous pauvres esprits.
Longtemps écrasés par une société nous ayant tant pris.
Ce fut un temps hors du présent.
Ce fut lentement, que de nouveau se présenta le printemps.
Oh grâce ! Est arrivé maintenant le temps du changement.
L’espoir de nouveau frappe à la porte de l’indigent.
Un souffle de renouveau redonne du baume aux coeurs.
Les larmes de la douleur s’effaçant de ce monde d’avant.
Une nouvelle dimension d’espérance voyant le jour, dans un nouvel élan.
Une nouvelle ère naissante nous permet désormais ainsi de croire en l’avenir du peuple et d’entrevoir la lumière du bonheur.
Tony Galafrio
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